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Vers un curriculum possible et pertinent d’une éducation à une économie durable au temps de l’anthropocène
Lundi 1er juillet à 13h30, Site de la Faculté d’Éducation de Montpellier (salle A109 - bâtiment A)
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Ce travail de thèse de doctorat en Sciences de l’Éducation et de la Formation dirigé par Jean-Marc LANGE et Angela BARTHES (AMU) a pour objectif de s’interroger sur les repères, ou balises, curriculaires nécessaires et pertinentes en vue d’une « éducation à » une économie soutenable dans le contexte scolaire. Cette éducation viserait ainsi à former les jeunes générations à penser de manière critique, pensée étayée par la connaissance de l’histoire des théories économiques depuis l’Antiquité jusqu’au monde contemporain. Pensée également étayée par la connaissance des approches contemporaines, concurrentes et controversées, des sciences économiques, leur permettant ainsi de rechercher des solutions innovantes et alternatives, tout en prenant des décisions éclairées en matière d'environnement, de justice sociale et de gouvernance dans leur parcours d’apprentissage.
Le but de l’étude est d’analyser d’un point de vue curriculaire diachronique les sciences économiques et sociales (SES) prescrites en France, pour le niveau de terminale – spécialité et ce, pour les trois dernières réformes des programmes effectuées en vingt ans. Il s’agit ainsi de mettre à jour le « caché » de ces réformes successives et de proposer des balises pour un curriculum possible et pertinent au temps de l’anthropocène. Qu’en est-il alors de l'éducation à une économie soutenable développée dans les curricula d’enseignement des programmes français ? Quelles en seraient les balises curriculaires qui permettraient de développer une formation pertinente car adaptée aux enseignants et aux territoires ?
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2e édition du colloque de Labos 1p5, intitulé :
Enseigner les transitions écologiques et sociales dans le supérieur (ETES)
Mardi 9 et mercredi 10 juillet, Université de Bordeaux - Pessac
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Les crises écologiques et sociales en cours appellent des mutations profondes et systémiques de nos sociétés. Dans cette perspective, l'enseignement supérieur a un double rôle : former des citoyen·nes éclairé·es et les préparer dans leur insertion professionnelle aux différentes transitions à mettre en œuvre. Pour les enseignant·es les enjeux sont nombreux : décloisonner les savoirs entre communautés disciplinaires historiquement distinctes, créer de nouvelles ressources (disciplinaires et transdisciplinaires), partager les savoirs et les pratiques pédagogiques.
Le colloque Enseigner les Transitions Écologiques et Sociales dans le Supérieur se veut un lieu d'échange et de partage : il s'adresse à l'ensemble des personnes qui enseignent ou souhaitent enseigner les enjeux des transitions dans le supérieur.
L'édition 2024 du colloque permettra de poursuivre les échanges, de suivre les avancées des expériences et enseignements en place en 2023, et de réfléchir collectivement aux voies d'action pour relever le défi de la massification.
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Du mercredi 20 au vendredi 22 novembre 2024, l’IFÉ - ENS de Lyon
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Le réseau des LéA-IFÉ, en partenariat avec l’Université d’Aix-Marseille et l’université de Montpellier, propose une formation intitulée : “Faciliter la conduite de travaux collaboratifs en contexte de recherches partenariales”.
Cette formation s'adresse aux chercheurs et acteurs éducatifs impliqués dans des travaux ou/et des réseaux entre recherche et éducation, avec les objectifs suivants :
- Disposer de repères pour mieux comprendre le contexte des recherches partenariales
- Comprendre les processus en jeu dans la collaboration entre les partenaires des recherches partenariales (acteurs éducatifs, acteurs de la recherche, autres partenaires du projet de recherche)
- Comprendre les rôles de passeur et outiller les actions pour soutenir la collaboration et la production de savoirs
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L'appel solennel de figures de la recherche scientifique et médicale française :
" Ne laissons aucun obscurantisme
nous envahir "
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Dans un contexte où certains.es s’interrogent sur l’éthique de leur engagement (Rencontre-débat du Comité éthique en commun et du COMETS du 21 mai 2024 et EthicHum 2024 : Recherche et engagement(s), un collectif de chercheurs.ses n’hésitent pas à s’engager à travers une tribune publiée dans le « Monde » ce dimanche 23 juin.
A travers cette tribune, plus de 900 chercheuses et chercheurs rappellent qu' « une science qui ne circule pas est une science morte ». Selon elles.eux, les découvertes et innovations supposent un « brassage de chercheurs et d’étudiants de toutes origines, de toutes religions, de toutes opinions ».
Dans cet appel solennel, des figures de la recherche scientifique et médicale française affirment que « les connaissances scientifiques n’ont pas de frontières. Elles ne laissent aucune place à la xénophobie, au racisme, à l’antisémitisme ou à l’exclusion de quiconque en raison de son appartenance à un groupe ».
Elles.ils ajoutent que la démarche de science ouverte « qui accélère la science suppose aussi une libre circulation des chercheurs d’un pays à l’autre pour passer du temps dans un laboratoire étranger auprès d’une équipe éloignée, unir des forces, former des étudiants dans les équipes respectives, susciter des opportunités de réseaux et ainsi permettre un brassage de chercheurs et d’étudiants de toutes origines, de toutes religions, de toutes opinions ».
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Mardi 9 juillet de 13h45 à 16h30, Campus Triolet de l’Université de Montpellier
Les projets MSCA Doctoral Networks visent à développer les compétences transférables, le potentiel créatif, l'esprit d'entreprise et d'innovation des doctorants pour leur ouvrir des perspectives de carrière dans le monde académique et non académique. Pour ce faire, les doctorants bénéficient d'une formation par la recherche à l'échelle individuelle et à l'échelle du réseau.
L’action Doctoral Networks du programme MSCA (Marie Sklodowska-Curie Actions) finance pour ce faire des consortiums internationaux, interdisciplinaires et intersectoriels - regroupant des universités, des organismes de recherche, des entreprises ou autres acteurs du monde socio-économique. Ces consortiums proposent un projet collaboratif de recherche et de formation sur un sujet de leur choix, à destination d’un certain nombre de doctorants internationaux qui seront recrutés dans le cadre du projet.
Une session d’information MSCA est organisée le 9 juillet de 13h45 à 16h30 par l’Université de Montpellier, le CNRS et le CHU en collaboration avec le Point de Contact National (PCN) MSCA.
Cet après-midi d’information a pour objectif de présenter de manière générale les actions Marie Sklodowska-Curie (MSCA) avec un focus sur les projets collaboratifs Doctoral Networks et Staff Exchanges.
Des témoignages de lauréats à ces actions MSCA viendront illustrer ces présentations.
Cet évènement aura lieu au sein de la Faculté des Sciences de l'université de Montpellier (bâtiment 36- Amphithéâtre SC36.05 - 1er étage) sur le campus Triolet.
Date limite d'inscription : mercredi 3 juillet 2024, via ce lien
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Le futur numéro de la Revue Mélanges CRAPEL (numéro spécial 46/1 à paraître en juillet 2025), intitulé « Éduquer et former au plurilinguisme dans une dimension éthique », prolonge les réflexions d’un séminaire consacré à des réflexions sur une éthique du plurilinguisme, organisé au laboratoire ATILF à l’Université de Lorraine, par Marie-Claire LEMARCHAND-CHAUVIN et Véronique LEMOINE-BRESSON.
Brahim AZAOUI, maître de conférences au LIRDEF, en tant que conférencier invité a examiné ce que pourrait être une éthique de l’éducation plurilingue afin de promouvoir la reconnaissance des compétences plurilingues et pluriculturelles dans un cadre respectueux d’autrui, de ses choix, de sa relation à sa langue et de ses stratégies linguistiques et scolaires. Comment les professionnel·les de l’éducation et de la formation s’engagent-iels dans leurs pratiques pour reconnaître la complexité de chaque personne dans une relation d'altérité, afin de dépasser toute tendance à réifier le locuteur plurilingue ? Comment s’y prennent-iels pour que les apprenant·es elleux-mêmes s’engagent dans des situations didactiques qui visent cette reconnaissance ? Quels contenus de formation élaborent-iels en vue de répondre à ce même objectif ? Quels supports et quels outils permettent la reconnaissance du sujet pluriel d’un point de vue linguistique et culturel ?
Ce numéro des Mélanges CRAPEL attend des contributions venant de professionnel·les de l’éducation et de la formation de diverses structures. Il peut s’agir sans exhaustivité, d’enseignant·es, de formateur·ices, d’éducateur·ices, etc. travaillant dans des structures publiques ou privées, dans différentes zones géographiques.
Les propositions d’articles seront à envoyer en version anonyme et version non-anonyme au format .doc ou .docx aux adresses suivantes : marie-claire.lemarchand-chauvin[at]univ-lorraine.fr et veronique.lemoine-bresson[at]univ-lorraine.fr en précisant le numéro de l’axe ainsi que la rubrique choisie (voir ici).
Date limite de soumission : vendredi 18 octobre 2024
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- Appel à contributions pour le prochain Numéro thématique de la revue Pistes, intitulé : « Les injustices sociales dans la formation du savoir. Enquêter par les gestes »
Le prochain numéro de la revue Pistes intitulé « Les injustices sociales dans la formation du savoir. Enquêter par les gestes » cherchera à « s'interroger sur le rôle du corps ou des gestes pour transmettre du savoir » ou « considérer l'apprentissage comme une expérience située dans des rapports de pouvoir ». Les contributions en sciences de l'éducation dans ce numéro. Nous ne restreignons pas de contributions à un niveau scolaire. Les contributions peuvent s'adresser au niveau primaire, secondaire, collégial (si applicable) ou universitaire.
Le troisième axe thématique de cet appel « Éducation et Justice sociale » s'adresse tout particulièrement à des enjeux liés aux sciences de l'éducation, notamment à travers les questions suivantes : « Devons-nous apprendre à travers certains gestes, à l’école primaire ou secondaire comme à l’université ? Si oui, comment s’apprennent-ils ? Peuvent-ils être déconstruits et pouvons-nous en apprendre d’autres ? Comment ces changements modifient-ils l’exercice de notre agentivité épistémique ? »
Date limite de soumission : vendredi 18 octobre 2024
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Jeudi 4 juillet de 13h à 14h (en ligne)
A l'occasion du 3e atelier d'échanges du réseau des laboratoires en transition, Emmanuel MONNEAU, chercheur contractuel au Laboratoire interdisciplinaire sciences innovations sociétés (LISIS), présentera un point d'étape de son étude sociologique portant sur la décarbonation de l'enseignement supérieur et la recherche (ESR). Il fera aussi le point sur les actions postées dans la plateforme Transition 1point5.
Comme pour chaque atelier, un temps d’échange sera ensuite prévu entre les participants et participantes. Si le sujet vous intéresse, vous pourrez échanger pendant l’atelier, celui-ci ne sera pas enregistré.
Pour rappel, Transition 1point5 est un outil lancé par le collectif Labos1point5 permettant de s'inspirer des bonnes pratiques développées dans les laboratoires du réseau ayant entrepris une démarche d’estimation et d’analyse de l’empreinte environnementale de ses activités, avec l’objectif de la réduire durablement, mais également de partager sa propre expérience.
Pour plus d’informations sur le réseau des laboratoires en transition, cliquez ici.
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- Jardiner à l'école pour s'ouvrir au monde. Encourager l'autonomie des élèves et les sensibiliser à la nature, de Corine MARTEL et Sylvain WAGNON, Éditions ESF Sciences Humaines, 2024
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Jardiner permet de connecter les élèves à la nature, de les sensibiliser au développement durable et de mieux connaître la biodiversité. Jardiner encourage aussi la persévérance, la patience et le respect.
À ce titre, le jardinage à l’école offre aux élèves une expérience concrète et riche. Véritable lieu de découvertes, le jardin à l’école permet aux élèves d’appliquer les connaissances apprises en classe : effectuer des mesures, adopter une démarche expérimentale, comprendre le cycle de vie des êtres vivants… Les élèves y développent aussi leurs compétences sociales en travaillant en équipe et en se répartissant les tâches. Porté par Sylvain WAGNON et Corinne MARTEL, ce livre propose de donner les indications utiles pour créer son jardin et construire son projet pédagogique innovant et solide.
Retrouvez l'enregistrement de l'interview de Sylvain WAGNON diffusée sur Divergence FM
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- Les mots-clés des curricula, dirigé par Joël LEBEAUME et Dominique RAULIN, Éditions OPUS - Open Publishing Services, Plateforme d’édition en accès ouvert de l'Université Paris Cité, 2024
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Dirigé par Joël LEBEAUME et Dominique RAULIN, cet ouvrage collectif vise l’appropriation des concepts, des problématiques de recherche et des méthodologies d’investigation des curricula en portant une attention privilégiée aux contenus, tout en croisant cette perspective didactique avec des points de vue sociologiques, historiques, politiques et anthropologiques.
Dans un contexte où les sociétés occidentales sont bousculées dans leurs certitudes venues d’un autre temps, aussi bien par les innovations technologiques que par leurs évolutions internes, Les mots-clés des curricula met à la disposition d’un lectorat varié (étudiants, enseignants, chercheurs, responsables politiques, citoyens) une présentation claire d’un large éventail des éléments qui constituent les curricula et qui permettent d’en comprendre la complexité et les conditions de leur conception et opérationnalisation.
Qu’est-ce qu’un curriculum d’éducation ou de formation ? Quels sont leurs liens avec des programmes, plans d’études, référentiels ? Quels sont leurs composants, leurs contenus, leurs modalités de mise en œuvre et leurs évaluations ? Quelles sont leurs relations avec les disciplines, les éducations à… et les dispositifs ? Comment sont-ils élaborés ? Quelles sont leurs morphologies ? Comment sont-ils pris en charge et utilisés par les acteurs ?
Voici différentes questions traitées dans cet ouvrage qui regroupe des textes inédits de 24 universitaires qui ont accepté de fédérer leurs travaux de recherche sur les curricula. Ils sont issus de 14 établissements universitaires de l’espace francophone. Cette double diversité de spécialité et de situation géographique assure à cet ouvrage l’équilibre nécessaire à la compréhension des curricula, la rigueur scientifique des écrits le préservant aussi de tout penchant doctrinaire ou militant.
Muriel GUEDJ et Jean-Marc LANGE ont contribué à cet ouvrage au titre du LIRDEF.
Cet ouvrage est disponible en téléchargement, complet ou par chapitre, sur Opus
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Ce dernier numéro de la revue Réseaux, publié aux éditions de la Découverte et coordonnée par Sylvain PARASIE et Sébastien SHULZ, présente un panorama des recherches de sciences sociales qui contribuent à éclairer empiriquement des questionnements sur les principales manières dont les technologies numériques équipent la transition écologique : l'informatisation de la question environnementale ; l'instrumentation des mobilisations écologiques ; la rationalisation des systèmes de production et de consommation ; l'expérimentation d'alternatives économiques à la logique productiviste.
Alors que la critique environnementale du numérique prend une ampleur considérable, un grand nombre d’acteurs entendent pourtant mettre les technologies numériques au service de la transition écologique. En mobilisant des infrastructures de calcul optimiser la production industrielle et réduire la pollution ; en équipant les politiques environnementales d’instruments de mesure de la biodiversité, des émissions carbone ou des pollutions atmosphériques ; en mettant en place des plateformes numériques qui mettent en relation des consommateurs et producteurs de biens agricoles en circuits courts, qui favorisent le covoiturage ou d’autres pratiques moins polluantes.
A priori paradoxale, cette « écologisation par le numérique » soulève un ensemble de questions auxquelles les enquêtes réunies dans ce numéro apportent des éléments de réponse : dans quelle mesure le numérique peut-il contribuer à réduire les dommages environnementaux ? Avec quelles implications épistémologiques, politiques et sociales ? Quelles sont les formes de transitions écologiques de nos économies portées par ces démarches appuyées sur la technologie ?
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- Crise de la société, crises de l’enseignement : Sociologie de l’enseignement secondaire français, de Viviane ISAMBERT-JAMATI, Nouvelle édition [en ligne]. ENS Éditions, collection Bibliothèque idéale des sciences sociales, 2024
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Cet ouvrage réédité par ENS Éditions propose un texte, devenu aujourd’hui peu accessible, issu de la thèse de Viviane ISAMBERT-JAMATI.
A partir d’une étude diachronique quantitative, ce volume analyse le corpus des discours tenus par les professeurs durant un siècle, de 1860 à 1965, lors du rite de la distribution des prix. Ces discours sont l’occasion pour les récipiendaires d’évoquer l’institution qu’ils représentent, les valeurs de leur enseignement. L’analyse de Viviane ISAMBERT-JAMATI met en lumière les finalités poursuivies par ces derniers, l’adhésion ou la critique qu’ils expriment à l’égard des instructions officielles. Ce faisant elle propose au lecteur un objet particulièrement éclairant pour comprendre l’évolution de l’enseignement secondaire au regard de la société.
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- Les Sciences dans la mêlée. Pour une culture de la défiance, de Bernadette BENSAUDE-VINCENT et Gabriel DORTHE, Éditions du Seuil, 2023
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Dans cet ouvrage paru en 2023, Bernadette BENSAUDE-VINCENT et Gabriel DORTHE proposent de repenser les conditions et les fonctions de l’expertise scientifique afin de restaurer un dialogue fécond entre les chercheurs et la société.
Les deux philosophes y analysent les récentes controverses et proposent ainsi une réflexion sur les pratiques de recherche et d’expertise en temps de crise. En donnant des clés pour repenser les rapports entre sciences, industrie et démocratie, cet essai plaide pour une transformation de la méfiance généralisée en une défiance exigeante, seule capable d'activer de nouveaux modes de production et de réception des sciences en société.
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Des bio-seaux ont été installés dans les cuisines du site de la Faculté d’Éducation de Montpellier, début juin 2024, afin de regrouper les bio-déchets avant leur dépôt dans le composteur fontaine installé sur le parvis de la cafétéria, et notamment dans la cuisine du LIRDEF.
Les usagers.ères de la cuisine du laboratoire sont donc invité.e.s à verser les restes de leur repas (plats non terminés, y compris carnés et coquilles, d’après les spécialistes du compostage de la FDE, épluchures de légumes et fruits) dans le bio-seau disponible près de la fenêtre, et de le vider après utilisation, à tour de rôle, dans le composteur. Il est possible de verser un peu de broyat de bois (disponible près du composteur) dans le fond du bio-seau afin d’absorber les liquides.
En espérant que la participation de tous.tes permettra une gestion vertueuse des déchets alimentaires.
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Calendrier des animations du LIRDEF
2023-2024
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Climat et sécurité
Mercredi 3 juillet 2024 - 13h
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